Un boisé centenaire de l’ordre du boisé marconi est mis en vente par Hydro-Québec
Mercredi le 19
décembre Hydro-Québec a installé une affiche à vendre sur le lot
(X XXX XXX) d'une superficie de 67
acres , situer au coin du chemin du golf ouest et du boulevard
Patrick juste à côté de ses bureaux du 175 chemin du golf ouest ,
sur lequel est situé une forêt ancienne jamais exploité , une des
dernières sur le territoire Drummondvillois . celle-ci contient des
peuplements de chêne et de pin plus que centenaires . Ainsi que
plusieurs espèces fauniques et floristiques , dont certaine désigné
en situation précaire , vulnérable , menacée et en voie de
disparition sur ce lot et sur les lots adjacents soit les lot
(X XXX XXX) et (X XXX XXX) appartenant toujours à
Hydro-Québec . La présence sur ces sites d’espèce d’amphibien
Urodèles et Anoures désignés par le gouvernement du Québec comme
susceptible d'être désigné menacée ou vulnérable , ainsi que la
présence d’occurrence de plante vasculaire vulnérable , menacée
et en voie de disparition , sans oublier la présence d'espèces
d'hybrides naturels non documentés de par leur rareté extrême ,
mais néanmoins présentes sur ces sites ,ces espèces ne sont que
quelque une des espèces que renferment ce boisé d’exception ,
avec la présence d’espèces de chauves-souris et d’écureuils
volants , insectes , reptiles , amphibiens et un nombre élevé de
plantes rares à croissance lente qui ont des cycles de reproduction
variant entre 8-16 ans dans les meilleurs conditions , pour la
plupart ces espèces ne peuvent vive qu'uniquement dans cet vielle
forêt mature . la présence d'o
ccurrence de 6 espèces
fauniques susceptible d'être désignée menacée ou vulnérable , 2
espèces floristiques menacées , 6 espèces floristiques vulnérables
et 1 espèces floristique en voie de disparition .
En lien direct avec ce dossier il existe une loi sensé protégé ces espèces et leurs habitats, la loi Québécoise (LRQ,CE-12.01) sur les espèces menacées ou vulnérables dans cette loi ont compte plusieurs dispositions et articles , des mandats très claire sont donné au gouvernement Québécois plus particulièrement au ministre du développement durable , de l’environnement et des parcs , ses mandats sont :
1-Établir des programmes qui visent la survie des espèces menacées ou vulnérables ou susceptible d’être désigné (article 7)
2-La protection et l’aménagement d’habitats déjà existant (article 7)
3-Le rétablissement d’habitats détériorés ou la création de nouveaux habitats (article 7)
4-Freiner le processus de raréfaction des espèces avant qu’il devienne nécessaire de les désignés légalement (article 7-8)
5-Acquérir de gré à gré ou par expropriation terre , terrain et tout immeuble ou tout droit immobilier qui constitue l’habitat d’un espèces menacées ou vulnérable ou susceptible d’être désigné (article 8)
6-Prendre toutes les mesures nécessaires afin de réparer ou atténuer un dommage subi par une espèces floristique ou faunique menacées ou vulnérables (article 8)
7-Émettre des amende qui peuvent varier entre 20 000$ et 80 000$ ainsi que des poursuite pénale contre tout individu , organisme , municipalité ou gouvernement qui enfreint la loi (article 40)
Ces citations sont prise textuellement dans le texte de loi (LRQ,CE-12.01) ceci est un très court résumé des principaux articles qui concerne directement le dossier de la vente du terrain d’Hydro-Québec mentionné ci haut et ses 2 autre habitats adjacent au site .
Il faut savoir aussi que les espèces floristiques désignés relève du ministère du développement durable , de l’environnement et des parcs et les espèces fauniques désigné relève du ministère des ressources naturelles et de la faune dont les fonctions sont confiées au ministre des forêts de la faune et des parcs .
Une question s’impose alors , qu’est-ce qui arrive quand le gouvernement ne respecte pas ou enfreint ses propres disposition légales et articles de loi , comme dans le cas présent en vendant sont propre terrain qui possède un potentiel d’habitat faunique et floristique incomparable à des spéculateurs en intérêt privé?
Ces trois lots ont longtemps été laissé à l’abandon et ont été visité et occupé par une multitudes de gens peut scrupuleux qui se sont adonnés à toute sorte d’activité illicites , tout comme dans la forêt Drummond , en exemple ont peut voir un ancien dépotoir considérable partiellement remblayé en bordure de la rivière St-François sur le lot (X XXX XXX) adjacent au site.
Selon nos Botanistes Consultants , la ville de Drummondville aurait tout intérêt à acquérir les trois sites mentionnés ci-haut et en faire le suivi . par le fait même la ville pourrait se démarquer en devenant un des leaders en matière de protection de la biodiversité sur son propre territoire , et par le fait même en faire profiter sont économie en devenant un pôle d’attraction reconnu pour son tourisme environnemental , de plus en plus populaire et en intégrant un parc d’interprétation au site , tout en maintenant un suivi et une surveillance dans le but de ne pas perturber le fragile équilibre de ces espèces en milieux naturel .
Nôtre entreprise
trouve scandaleux quand 2019 une forêt de cette ordre soit mis en
vente et affiché comme un vulgaire bien immobilier et possiblement
détruit en partie ou en totalité dans les prochaines années ,
surtout que la vente est faite par une société d'état
gouvernemental censé nous représenter et travailler pour l'avenir
des Québécois , de plus sachant que les gens seront de plus en plus
taxer dans le future pour protéger l'environnement et que de l'autre
côté le gouvernement continu à accélérer ses même processus de
négligence environnemental qui mènent à l'appauvr
issement
des gens . Nous espérons aussi que des changements surviendront
assez vite par rapport à une possible approbation environnemental
pour l’obtention de future autorisation de vente lors de la
mise
en vente des lots appartenant à l’état et aux municipalités pour
qu’il n’y est plus de boisé d’exception qui passe sous les
radars pour être détruit à court ou long terme pour des intérêts
privés ou de coalition spéculative nu été de citoyen vigilant .
1-Le 22 décembre
2018 une copie du dossier comprenant toute les information avec les
localisations , numéros
, le dénombrement d’espèces
menacé ou vulnérable présente sur les 3 sites avec l’annonce de
vente par Hydro Québec de leurs habitats ainsi qu’une demande
d’intention avec suivi écrit, à été déposé à
l’administration de la ville de Drummondville .Accompagné d’un
offre de service professionnel bénévole de notre par, pour les aidé
dans ce dossier .
2-Le 7 janvier 2019 le même dossier concernant la vente de l’habitat non recensé d’espèces menacé ou vulnérable et d’espèces susceptible d’être désignées avec la localisation des 3 lots ,l’annonce de vente d’Hydro-Québec avec un surplus d’information sur les noms latin exacte de toutes les espèces classé menacé ou vulnérable ou susceptible d’être désigné ainsi qu’une demande d’intention avec suivi écrit , à été déposé au gouvernement du Québec plus précisément au bureau du député de Drummond-Bois-Franc . Accompagné d’un offre de service professionnel bénévole de notre par, pour les aidé dans ce dossier.
(les espèces et numéros des lots mentionné ci-haut non pas été énuméré par souci de protection préventif à leur égard )
Americanum travaille pour toutes les espèces
Publié : le 1 janvier 2019 à Drummondville Qc. Ca. par: les presses indépendantes
Flore Carolinienne menacée au Québec et philosophie social moderne
( Exposé sur la flore de l’est de l’Amérique de Nord (le triangle carolinien) )
Par :Americanum Botaniste- recherche et développement
Encore plus rare au Québec quant Ontario .La flore Carolinienne est représenté au Québec uniquement par quelque une des espèces qui la compose. Presque exclusivement à la frontière de l’Ontario et des États-Unis . On parle de bride d’ilot Carolinien , principalement sur les bords du Saint-Laurent et de ses îles.
Pour vous familiarisez avec la totalité des arbres et arbustes qui composent cette flore , vous trouverez dans cet article une liste des noms latins ainsi que leur équivalent en français .
La plupart des informations concernant la rusticité de ces espèces dans les différentes zones climatiques du Québec son fausse ou au mieux erroné, car les spécialistes des arbres et pépinière à profit , n’ont aucune réel connaissance ou expertise dans ce domaine , au mieux ils ne font que rapporter les informations américaines ou ontariennes collectés dans des zones et des biomes différents ,sans jamais investir dans de vrai recherche sur de multiples sites qui pourraient leur faire connaitre la réalité de ces espèces .La réalité étant que plusieurs de ces espèces peuvent prospérer dans certain endroit du Québec.
Liste des noms français caractéristique de la flore Carolinienne arboricole indigène au Québec :
Amorphe buissonnante - Bouleau noir - Caryer ovale - Caryer cordiforme - Noyer cendré - Chêne blanc - Chêne bleu - Chêne rouge - Charme de Caroline - Clavalier d’Amérique - Érable noir - Genèvrier de Virginie - Hamamélis de Virginie - Micocoulier occidental - Noisetier Américain - Orme d’Amérique - Orme rouge - Orme de thomas - Ostryer de Virginie - Peuplier deltoide - Platane occidental - Physocarpe à feuilles d’obiers - Pin rigide - Pruche du Canada - Saule noir - Staphylier à trois folioles - Sureau du Canada - Sumac à vernis - Sumac de l’est - Tilleul des marais - Tilleul d’Amérique - Vinaigrier glabre - Vinaigrier odorant - Viorne litigieuse .
La seule autre province du Canada qui compte une partie de cette flore et de surcroit beaucoup plus riche en contenu , c’est l’Ontario .La province des extrêmes ,exploitation maximum du pétrole ,gaz et toute ressource naturel ,grande culture à perte de vue dans le sud ,exploitation du vent etc. . C’est aussi là qu’il y a la plus grande biodiversité au Canada ,avec le plus grand nombre d’espèce menacé ,vulnérable ou en voie de disparition ,c’est clair que c’est la province dont le gouvernement Canadien devrait investir les plus grosses sommes pour conserver les derniers ilots de cette biodiversité constitués par la flore Carolinienne ,principalement situé sur les rives des lacs Ontario ,Érié ,Huron ,et Saint-Claire .Principalement avec des achats de terre autour des zones visés ou par l’expropriation des spéculateurs fonciers ,qui ne s’occupent pas de leur terre et des espèces présentes en apportent aucune amélioration sur les peuplements forestiers et l’écosystème. Sans oublier que ces endroits font aussi partis de l’histoire et de la culture des premiers Canadiens qui ont fait et développer le Pays depuis plus de 18 générations.
Certaine de ces espèces on déjà dépassé un seuil critique sur la totalité de leur air de répartition , comme le Bouleau flexible qui ne comptait plus que 14 individus en 2005 au Canada ,le Châtaignier d’Amérique pour cet espèce on estime qu’il reste environ 12 individus au Canada ,le Noyer cendré ,le Cournouiller fleuri ,le Murier rouge ,le Magnolia acuminé ,le Pin albicaule ,qui sont tous classés en voie de disparition ,certain sur la totalité de leur air de répartition .
D’autre comme le Chicot févier ,le Ptéléa à trois folioles ,le frêne bleu et le Chêne de Shumard ne sont que quelques-uns des arbres menacés de disparition au Canada .Certaine espèce préoccupante ne figure même pas sur les listes officielles des gouvernements provinciaux et fédéraux ,n’ayant jamais fait l’objet d’étude récente . Beaucoup de documentations datent déjà de dizaines voir de vingtaines d’années ou plus .
Liste des noms français caractéristiques de la flore Carolinienne arboricole indigène en Ontario :
Asiminier trilobé - Bouleau flexible - Caryer lacinié - Caryer glabre - Chicot févier-Châtaignier d’Amérique - Chêne nain - Chêne jaune - Chêne noir velu - Chêne des marais - Chêne ellipsoidal - Chêne de Shumard – Chêne à feuilles de houx - Cornouiller fleuri - Févier à trois épines - Frêne pubescent - Frêne bleu - Fusain pourpre - Gainier rouge - Lindera à épice - Mûrier rouge - Micocoulier rabougri - Magnolia acuminé - Marronnier glabre-Nyssa sylvestre-Noyer noir - Platane occidental - Peuplier des marais - Pommier odorant - Ptéléa trifolié - Sassafras officinal -Tulipier de Virginie - Vinaigrier brillant .
Toutes les espèces déjà énumérés dans la liste Québecoise sont aussi présente en Ontario , elles s’additionnent donc à cette liste.
Liste des noms français caractéristique de la flore Carolinienne arboricole indigène au États-Unis dans les états de Caroline :
Asiminier nain - Asiminier trilobé - Baccharis de l’est - Bleuet arborescent - Caryer aquatique - Caryer de Caroline - Caryer tomenteux - Caryer rouge - Caryer à myrtille - Caryer des sable - Caryer pacanier - Calycanthe fleuri - Cerisier de Caroline - Câtaignier nain - Châtaignier d’Amérique - Chionante de Virginie - Chêne à feuille lyrées - Chêne de montagne - Chêne de Caroline - Chêne des marécages - Chêne de nuttal - Chêne du Maryland - Chêne de Georgie – Chêne à feuilles de houx - Chêne à feuille en pagode - Chêne des sable - Chêne des dindes - Chêne austriné - Chêne de Margarette - Chêne à feuille de laurier - Chêne étoilé - Chêne digité - Chêne glabre - Chêne écarlate - Chêne hémisphérique - Chêne imbriqué - Chêne noir d’eau - Cournouiller de Drummond - Cyrilla des marécage - Érable gris blanc - Érable de Floride - Frêne de Caroline - Frêne de Biltmore - Févier aquatique - Fustet d’Amérique - Fusain d’Amérique - Franklinia ailé - Gordonia lasianté - Halésier de Caroline - Halésier de montagne - Houx de Caroline - Houx sarvis - Houx dahoon - Houx de colline - Houx coriace - Houx décidu - Houx de Georgie - Houx de montagne - Houx à myrtille-Houx Américain - Houx yaupon - Kalmia de montagne - Liquidambar d’Amérique - Magnolia à grandes feuilles - Magnolia à grandes fleurs - Magnolia de Fraser - Magnolia de Virginie - Magnolia parasol - Marronnier sylvestre - Marronnier jaune - Marronnier rouge - Marronnier blanc nain - Micocoulier lisse - Morella naine - Morella à cire - Nyssa aquatique - Nyssa biflore - Nyssa sylvestre-Nerprun de Caroline - Orme ailé - Oxydendron arborescent - Persea des marais - Plaqueminier de Virginie - Planera aquatique - Pommier angustifolié - Pruche de Caroline - Rhododendron de catawba - Sabal palmé - Sabal mineur - Stewartia soyeuse - Styrax Américain - Styrax à grande feuille-Symplocos teinté - Sumac pubescent - Taxode chauve - Taxode des étangs - Virgilier jaune - Viorne noir - Viorne des opposums et plus de 35 espèces d’aubépines
Toutes les espèces déjà énumérés dans les listes Québecoise et Ontarienne sont aussi présentent au États-Unis dans les états de Caroline ,elles s’aditionne donc à cette liste ..
Liste pour professionnel :
La liste des noms latins des espèces d’arbres et d’arbustes constituant la flore carolinienne ,et qui peuvent faire l’objet d’étude et d’expérimentation pour un implantation au Québec .Plusieurs de ces espèces sont ou ont déjà été étudié par les botanistes d’Américanum et de Pépinière du golf Drummondville ,qui possèdent depuis 2008, 4 sites d’expérimentation dans la région soit :Drummondville ,Saint-Majorique ,Saint-Germain de Grantham ,et L’Avenir Qc.
Liste des noms latins caractéristique de la flore Carolinienne arboricole indigène au États-unis dans les états de Caroline :
Acer floridatum - acer leucoderme – acer nigrum – aesculus flava – aesculus pavia – aesculus sylvatica-aesculus parviflora-aesculus glabra-aralia spinosa – asimina parviflora – asimina triloba – baccharis halimifolia – betula lenta – betula nigra – carpinus virginiana – carpinus caroliniana – cartrema americana – carya aquatica – carya carolinae septentrionalis – carya cordiformis – carya glabra – carya hirsuta – carya megacarpa – carya laciniosa – carya myristiciformis – carya ovalis – carya ovata – carya pallida – carya tomentosa – carya ilinoinensis – castanea pumila – castanea dentata –corylus americana – celtis tenuifolia – celtis occidentalis – celtis laevigata – cercis canadensis – chamaecyparis thyoides – chionanthus virginicus – cladrastis kentukea – cornus asperifolia – cornus florida cornus drummondii – corylus americana– cyrilla racemiflora – diospyros virginiana – euonymus americanus – euonymus atropurpurens – frangula caroliniana – fraxinus caroliniana – fraxinus profunda – fraxinus quadrangulata – gordonia lasianthus – halesia tetraptera – halesia monticola – hamamelis virginiana – ilex ambigua – ilex amelanchier – ilex cassine – ilex collina – ilex coriacea – ilex decidua – ilex longipes – ilex montana – ilex myrtifolia – ilex opaca – ilex vomitoria – juglans cinerea – juglans nigra – juniperus virginiana – juniperus silicicola – kalmia latifolia – liquidambar styraciflua – liriodendron tulipifera – magnolia acuminata – magnolia fraser – magnolia grandiflora – magnolia macrophylla – magnolia tripelata – magnolia virginiana – malus angustifolia – malus coronaria –menziesia pilosa– morella pumila – morella cerifera – morus rubra – nyssa aquatica – nyssa biflore – nyssa sylvatica – ostrya virginiana – oxydendrum arboreum – persea borbonia – persea palustris –physocarpus opulifolius– pinus echinata – pinus palustris – pinus pungens – pinus rigida – pinus taeda – pinus virginiana – planera aquatica – platanus occidentalis – populus deltoides – populus heterophylla – prunus alleghaniensis – prunus americana – prunus angustifolia – prunus caroliniana – prunus umbellata – ptelea trifoliata – quercus alba – quercus austrina – quercus bicolor – quercus coccinea – quercus falcata – quercus geminata – quercus georgiana – quercus hemisphaerica –qercus ilicifolia - quercus imbricaria – quercus incana – quercus laevis – quercus laurifolia – quercus lyrata – quercus margaretta – quercus marilandica – quercus michauxii – quercus montana – quercus muehlenbergii – quercus nigra – quercus pagoda – quercus palustris – quercus phellos – quercus prinoides – quercus rubra – quercus ambiguat – quercus shumardii – quercus stellata – quercus velutina – quercus virginiana – rhododendron catawbiense – rhododendron maximum –rhus aromatica– rhus copallina – rhus latifolia – rhus leucantha – rhus glabra – rhus michauxii –robinia pseudoacacia –rosa palustris – rosa caroliniana – rosa setigera – rosa virginiana - sabal minor – sabal palmetto – salix nigra –sambucus canadensis – sassafras albidum – staphylea trifoliata – stewartia malacodendron – stewartia ovata –styrax americanus – styrax grandifolius – symplocos tinctoria – taxodium ascendens – taxodium distichus – tilia caroliniana – tilia heterophylla –toxicodendron pubescent - toxicodendron vernix –toxicodendron radicans– tsuga canadensis – tsuga caroliniana – ulmus alata – ulmus rubra – ulmus thomasii – ulmus americana – vaccinium arboreum – viburnum nudum – viburnum prunifolium – viburnum rufidulum – zanthoxylum americanum – zanthoxylum clava herculis . et plus de 35 espèces de crataegus .
Liste des espèces de chêne hybrides naturels présent dans la flore Carolinienne au Canada :
Québec : Chêne de Bebb=(Q.alba x Q.macrocarpa) ,Chêne de shuette=(Q.bicolore x Q.macrocarpa) ,Chêne de jack=(Q.alba x Q.bicolor)
Ontario : chêne de Britton=(Q.muelhenbergi x Q.prinoides) ,Chêne de deam= (Q.alba x Q.muelhenbergi) ,Chêne introgressa=(Q.bicolor x (Q.prinoides x Q.muelhenbergi) , Chêne paléolitique= (Q.velutina x Q.ellipsoidalis) ,Chêne de Hawkins=(Q.rubra x Q.velutina) ,Chêne de Richter=(Q.rubra x Q.palustris) , Chêne riparia=(Q.rubra x Q.shumardii) ,Chêne de fernald=(Q.rubra x Q.ilicifolia)
Au Canada ces chênes restent très rare en nature, en rapport à leur population parental réduite et aux conditions de pollinisation qui peuvent être légèrement décalés au moment de la réceptivité ovulaire chez les parents qui leur donne naissance ,sans parlé du pourcentage des glands qui devienne arbre reproducteur .
D’autres genres et espèces s’hybrides naturellement de manière occasionnel dans la zone Carolinienne , mais il manque l’information technique ainsi que des recherches sérieuses pour valider ces autres observations .
Constatation :
La flore de l’est semble plus diversifié et avoir été isolé de l’ouest dans le passé en évoluant indépendamment des espèces de l’ouest ,au moment des nombreuses glaciations qui lui ont donné sa composition actuel .Par l’observation des fossiles et leur pollen ,on sait que cette flore à déjà occupé une plus grande superficie par rapport à son air de répartition actuel .Certaine de ces espèces ont migré plus facilement et rapidement vers le Canada ,que d’autre en relation directe avec le mode de transport de leur semence et leur mode de pollinisation dans des corridors climatiques favorables .Les arbres anémophiles à fleur monoïque et possédant un péricarpe résistant aux conditions extrêmes des différents climats , son nettement avantagé dans leur migration .
La protection et le rétablissement de la flore Carolinienne au Canada en Ontario et au Québec est d’une importance capital pour la biodiversité au pays .
Pour démontrer le manque de connaissance et le septicisme général ,surtout dans le domaine botanique et faunique ,dernièrement en 2017 une nouvelle espèce d’écureuil volant(glaucomys oregonensis) à été découvert au États-Unis ,sans parler des quelques plantes et arbres comme le peuplier des marais(populus heterophylla) dont un peuplement à été découvert au Canada en 2002 ,dans un ilot en plein cœur d’un des secteurs les plus pollués dans la région de Oil Spring et Pétrolia dans le sud de l’Ontario .La ou on peu sentir toutes les odeurs des usines pétro-chimique .Il y a aussi le chêne des ours(quercus ilicifolia) dont des occurences ont été découverte au Canada en 1994 avec le vinaigrier brillant(rhus coppalina),qui formait plusieurs colonie dans la région des granites arides(barren rock) au nord de Kingston ,dans cette région se trouve aussi une variété de plante vasculaire rare, : (Théorie Americanum 2018) qui à une certaine époque constituait une partie de la pointe du triangle que formait la zone Carolinienne entre les microclimats des granites barrens ,à l’est de la baie Georgienne dans la région de Kaladar en Ontario et les états de Caroline et du Massachusetts aux États-Unis. Il y à aussi le Marronnier glabre(aesculus glabra) dont une occurrence découverte au Canada en 1982 sur l’ile Walpôle ,ainsi que quelque occurrence de frêne pubescent (fraxinus profunda) .La diversité est tel dans cet ancien triangle carolinien qu’on peu aussi observé au Canada la présence de cactus ,comme l’oponce de l’est(opuntia humifusa) sur les rives du lac Érié et l’oponce fragile (opuntia fragilis) dans les granites barrens de Kaladar. (Pour la culture, ces cactus résistent très bien aux hivers du Québec).
Présentement pour valider les observations ou enregistrer des découvertes il n’existe aucune structure gouvernemental ,ni aucun organisme quelconque ,c’est souvent laborieux d’obtenir de l’aide ou une validation ,surtout pour les spécialistes sans contacte dans le milieu ,qui tente de prendre contacte avec les rares spécialistes des laboratoires d’analyses génétiques ,qui n’ont aucune motivation . Comme ceux des universités de Montréal ,qui ne sont intéressés que par l’argent et leur propre gloire et mérite , tout dépendant juste à quel point il peuvent revendiquer la dite découverte .Il ne faut pas oublier qu’on est au Québec .
Les observations et les découvertes sur la présence d’occurrence de plante vasculaire appartenant à la flore Carolinienne au Canada en Ontario et au Québec est d’une importance capital pour la protection et la compréhension des mécanismes de migration phytogéographique qui maintienne une cohésion dans la biodiversité au Pays .
Rôle de gardien faunique et floristique individuel :
Chaque personne individuellement peut apporter sa contribution dans la mesure
de ses moyens et faire progresser et améliorer les problématiques fauniques et floristiques ,car attendre après
les gouvernements et leurs fonctionnaires c’est attendre après la disparition et la dégradation des espèces et
des milieux vulnérables ,desquels nous avons une responsabilité.
Il suffit seulement parfois de redonner une
partie de ce que l’on prend au milieu forestier ,en bénévolat ou en initiative personnel ,en action concrète
directe .Le maintien des espèces floristiques ,plante vasculaire passe par un meilleur équilibre des populations
proies prédateurs dans la faune Canadienne et Québécoise .La faune nocturne joue aussi un rôle important dans
l’écosystème du centre-sud du Québec ,il y existe de petite population de petit Polatouche(Glaucomys volans)
comme à Drummondville au centre du Québec ,ainsi que plusieurs espèces de chauve-souris .Tout comme une
populations de Narceus Americanus récemment répertorié sur une ile isolé de la rivière Saint-François toujours
à Drummondville .
Les dernières analyses génétiques de cette espèce démontrent une grande variation génétique
inter-espèce dans son air de répartition actuel ,qui laisse croire à de possible variétés ou sous espèces
régional .Les hybrides naturels dans la faune et la flore joue un rôle dans l’évolution des espèces (exemple
actaea ludovici) ,mais ils ne sont ni étudier ,ni répertorier . Solution faunique et floristique :
Pour améliorer cet écosystème ,on peut favoriser l’augmentation des populations
des espèces de chauve-souris(vespertilionidés) et de petit polatouche (glaucomys volans) ainsi que les insectes
prédateurs ,et les (spirobolidés) comme les mille-pattes .En commençant par La base qui est de stabiliser le
milieux forestier au niveau des différentes strates végétales ,pour se diriger vers un inversement du déclin
de la régénération végétale dans les différents biomes forestiers ,causé par les espèces qui s’en nourrissent
.Principalement en faisant une plus grande place aux prédateurs des lapins(léporidés) et des rongeurs surtout
les(cricétidés) ,sans oublier les fameux cerfs de Virginie(cervidés) .Il y a un urgence d’agir maintenant ,car
le problème à déjà atteint un niveau critique en forêt .Dans la plupart des secteurs occupé par ces mammifères
,Il n’y a pratiquement plus de régénération d’arbres feuillus et d’arbustes non ligneux qui maintiennent une
bonne biodiversité des microbiomes des arbres ainsi que certain type d’habitat et d’écosystème essentiel à la
biodiversité .Ce scénario mène inévitablement vers un appauvrissement de biodiversité forestière ,et qui affectera
toutes les espèces de mammifères ,d’insectes et de plantes vasculaires qui dépendent de ces milieux .Un clivage
ascendant est entrain de se dessiner entre les différents peuplements d’arbres du Centre sud du Québec
présentement seul 2 ou 3 espèce d’arbre sont favorisé par ces surpopulations animales ,comme le sapin baumier
et l’épinette blanche ,ainsi que des espèces envahissantes d’arbuste d’Europe comme le nerprun bourdaine .Ces
espèces sont favorisés car les mammifères brouteurs ne les consomment pas .Ce qui va progressivement amener
les forêts à ressembler de plus en plus à des monocultures de sapin baumier et de conifère de second choix gustatif
.Ce qui entrainera la multiplication de microbiome arboricole tous semblable et continu dans la même superficie
occupé .Ça signifie que toute les conditions idéals sont réunis pour favoriser les maladies et les infestations
de tout genre ,tout en faisant diminuer la croissance des arbres .Des décisions doivent impérativement être prise
,comme l’interdiction de la trappe des animaux prédateurs dans les régions affectés .Même des réintroductions ,
là ou les populations prédatrices ont disparus ,et leurs protections ,aussi principalement augmenté et facilité
la chasse au cerf de Virginie ,lapins et rongeurs .Présentement la chasse est très loin de suffire pour le
contrôle des populations ,surtout pour les cerfs et lapins .Il existe une grande disparité entre la réalité
sur le terrain et les statistiques et inventaires laxistes ,utilisé pour connaître les populations réels
d’aujourd’hui . Pour les autres enjeux qui sont moins vu comme une vache à lait sacrée ,les gens
peuvent s’impliquer dans différente petite chose ,comme aider : les insectes prédateurs qui contrôle certains
insectes nuisibles ,les mille-pattes qui compostes les déchets sur le sol ,les chauve-souris qui contrôle les
quantités d’insectes ,les écureuils volants qui sont omnivores ,en mangeant un peu de tout comme plusieurs
espèces de champignons desquels ils répandent les spores par leurs excréments favorisant du coût les arbres qui
dépendent de ces même espèces de classe fungi et de gloméromycètes ,ainsi que les mammifères reliés à ce même
cycle d’échange de croissance-reproduction ,sans oublier qu’ils enfouissent des semences qui donneront des arbres .
On peut simplement laisser un coin de terrain en haute herbe avec quelques fleurs ,un tas de petites branches
et de feuilles mortes ,quelques vieilles bûches ,on peut aussi installer une cabane pour chauve-souris ou pour
écureuil volant(plan sur internet) . Section Philosophique :
Questionnement logique moderne : (
parenthèse sur l’improvisation des regroupements)
Comment peut-ton améliorer les connaissances et aider les individus et
les entreprises à évoluer dans la modernité .Ce n’est pas en faisant le tour du monde à la rame ou en marchant
d’un bout à l’autre du pays ou encore en faisant de la bicyclette de Montréal à Québec .Ce n’est pas en faisant
de petite recherche copié collé par un agronome ou un universitaire en état de grâce ,qu’on peut démontrer les
réalités d’un domaine .Les seuls recherches qui peuvent éviter d’erroné les potentiels en présence ,sont celle
sur le long terme et effectuer par des gens impartiaux du milieux concerné . Ce n’est pas en cherchant du mérite en faisant son auto-promotion personnel
dans des clubs de glands ,qui ont des visés syndicalistes avant même d’avoir quelque chose à offrir à leurs
membres ,comme des services non rémunérés .Ce n’est pas comme ça qu’on aide et qu’on fait des changements et
des avancés dans un domaine .C’est uniquement avec le travail personnel de pionnier déterminé ,qui ne compte
pas leur cenne et qui partage leur connaissance avec des gens qui ont su démontrer leur respect et du
dévouement à une même cause . Parenthèse arboricole municipale :
(ou politique d’ingérence des arbres privés)
On peut aussi se poser certaine question avant de planter un arbre comme :
après avoir acheté un arbre et payé pour tous les services d’entretiens de taillages ,de fertilisations et de
traitements phytosanitaires ,la ville se considère tel avoir des droits sur cet arbre et tous ceux de
notre propriété ? Est-ce que je ou la ville plante un arbre pour le mérite d’avoir fait pousser
un arbre ,sans se préoccuper du choix de l’espèce ? Ou encore est-ce que c’est parce que la ville est en mal de
verdure et qu’elle veut s’ingérer un peu plus sur nos propriétés ? La ville va-t-elle payer ses lubies horticoles
en défrayant l’entretien ,la taille la fertilisation ,les soins ,et le prix d’achat de l’arbre dont elle veut
tellement et dont elle veut profiter visuellement et être le mécène ? Ou juste que quelques élus qui se sont
entendus entre eux puissent jouir un peu plus du porte feuille des gens qui les font vivre ? Ce qui compte ce
n’est pas de protéger des paysages ,c’est de protéger les habitats de la biodiversité et des espèces qui la
composent ,et qui son présent dans certain endroit de toutes les municipalités du Québec et du Canada. Les villes et municipalités ont un rôle important à jouer dans le rétablissement
des espèces .Ils n’ont aucune raison valable de ne pas priorisé la plantation des espèces d’arbres indigènes menacés
,vulnérables ou en voie de disparition ,en utilisant notre argent public dont ils sont supposés se servir pour
le bien collectif ,et futur .De plus ces espèces sont disponibles chez les pépiniéristes spécialisées au même prix
que n’importe quel autre arbre d’Europe ou espèce variétal dégénérative .Il suffit de donner des mandats plus précis
au responsable des achats d’arbres ,ou mandater un comité spécialisé ou un botaniste consultant ,qui pourront éviter
de prioriser la facilité et les mêmes bons vieux contactes d’achat en pépinière traditionnel ,qui refuse d’évoluer
dans un monde en perpétuel changement . Parenthèse anthropomorphique :
La société est-elle rendu assez superficiel pour être obligé de mettre une
valeur monétaire aux espèces pour déterminer leur potentiel de rentabilité et les ressources qui lui seront
octroyé .Au niveau social si on peut donner à toute sorte de cause humanitaire et social ,au même niveau
proportionnellement qu’est-ce qu’on redonne directement à la faune et la flore ,de ce qui est pris chaque
jour a part quelques recherches et observations ,collectes et statistiques .Sur les budgets qui servent à
payer des gros salaires à des fonctionnaires de l’environnement qu’est-ce qui est mis directement pour le
maintien et l’augmentation de la faune et la flore vulnérable ou menacée . Si vous voulez faire votre part pour aider les espèces vos initiatives
bénévoles peuvent faire une grande différence ,beaucoup plus que quelques belles phrases sur une première
page ou dans une émission grand public ,sur fond d’auto promotion social . Parenthèse : ( le reflet d’homo
sapiens dans l’intangible)
La disparition d’homo sapiens ,comme les espèces mentionnées dans cet ouvrage
l’homme moderne est mis devant sa propre disparition ,ne semblant pas en mesure de changer ,trop basé sur son
microcosme de bien être .N’ayant pas un intelligence suffisante pour gérer les conséquences de ces activités
et trop dépendant de ses instincts primitifs de reproduction ,domination ,enrichissement ,peur .L’homo sapiens
a atteint un cul de sac intellectuel et social ,qui s’est matérialisé par l’adoption et la dépendance
psychosomatique aux média dit sociaux ,probablement le pire comportement anti-social et contre productif du
21ème siècle ,probablement une des facettes que l’homme moderne aura à modifier pour évoluer indépendamment
,par lui même face aux dogmes sociaux ,culturels et intellectuels .L’homme a perdu sa capacité à raisonner à
travers ces semblables .L’homme ne devrait pas voir le monde comme un infini d’espace et de consommation ,mais
plutôt comme quelque chose de limité .Pour l’homme moderne la seule vraie préoccupation devrait être la conservation
de son habitat naturel vital et protégé la biodiversité environnemental ,pour ce quelle est et non pas pour
ce quelle peut lui apporter .C’est une question fondamentale pour une personne évolué
et intelligente . Conclusion
La protection de l’environnement et des espèces ,font parti des bases de l’identité
Canadienne et Québécoise ,pas comme une ressource mais plutôt comme un avenir . Americanum et Pépinière du Golf Dr. ont une pensée spéciale pour tous les gens
dont le potentiels est ignorés et qui ne peuvent par moyen ,sortir du model classique à deux voies d’exploitation
pour un et d’enrichissement pour l’autre ,orchestré par les mêmes vieilles têtes qui s’accrochent aux amis du
pouvoir féru du néo-libéralisme économique.. Pépinière du Golf Americanum repousse toujours
les limites de l’intangible
Publié : le 3 janvier 2018 à Drummondville Qc.les
presses indépendantes 2018 Tous droits réservés à Americanum firme de botaniste consultant
Classification
infragénétique du genre Quercus(fagacea) et phylogénétique des
trigonobalanoides moderne
Les premiers pollens
fossilisés observé de genre apparenté à quercus datent du début du Tertiaire
.Pour ce qui concerne les restes fossilisés, les plus âgés datent de l'Oligocène
certains trichomes étoilés susceptibles de représenter le genre sont datés de
façon imprécise. Des fossiles de trigonobalanoides datés de l'Oligocène et du
Paléocène ont été découvert en Amérique du Nord . Ils existent aussi des
strates géologiques datés plus ancienne en Europe, et contiennent également des
restes fossilisés d'espèces primaires associé au genre. Selon les
connaissances scientifiques toutes les espèces sont anémophiles. Le genre
quercus moderne compte plus de 600 espèces apparentés répertoriés et d'écrites
dans le monde. Ils couvrent principalement l'ensemble de l'hémisphère nord et
colonise des habitats qui vont des fôrets : tempérées, tropicales,
semi-désertiques ou ils croissent en formation arbustives, en altitude ils
peuvent atteindre 3900 mètres, comme au Népal. Concernant la
biodiversité et la biogéographie du genre et des espèces apparentés, ont répertorie
en ordre d'importance environ 354 espèces du sous-genre euquercus et 76 pour le
sous-genre cyclobalanopsis. pour le genre quercus il y à environ 234 espèces en
Amérique, 196 en Eurasie, 98 en Asie et seulement 22 en Europe. la diversité la
plus élevée ce situe entre les latitudes 15 degrés et 30 degrés nord en Amérique
centrale, comme au Mexique, et en Asie du sud, comme en Chine dans la province
du Yunnan. En Amérique , au
Canada on compte seulement 11 espèces:Q.rubra,Q.palustris,Q.ellipsoidalis,Q.velutina,Q.shumardii,Q.alba,Q.bicolor,Q.macrocarpa,
Q.muehlenbergii,Q.prinoides,Q.garryana. La plupart sauf Q.rubra et Q.macrocarpa
, se limite surtout aux abords des grands lacs dans certain endroit ou le
milieu naturel d'origine à été conservé ,une chose rare dans le sud de l'Ontario.dans
ses endroits ils n'occupe que de petites colonies . Pour Q.garryana c'est le
seul représentant sur la côte ouest. Les États-Unis compterait 34 espèces de
chênes rouges et 49 espèces de chênes blancs. Ces espèces sont présentes
surtout dans la partie orientale. Le Mexique compte la plus grande diversité en
Amérique, tout comme la Chine en Asie, l'Amérique centrale compte 30 espèces et
1 espèce seulement en Amérique du sud.
Pour expliquer
l'origine géographique et l'expansion migratoire, deux théories existent .La
première (1992), étant que: le genre est apparu en Asie du sud-est issu du genre
trigonobalanus, pendant le Paléocène, et a migré en deux groupes dans deux
directions différentes, un vers l'Europe et l'autre vers l'Amérique via le nord
Atlantique(land bridge) avant l'Éocène et via le détroit de Bering après le
Miocène. Dans la seconde
théorie(2001) : Le genre Quercus provient de la fôret feuillue tropical boréal
largement répandu à l'époque, qui s'étendait le long de l'hémisphère Nord au
début du Tertiaire. Le genre s'est différencié à mesure que les continents se
séparaient, conséquemment des espèces de chêne se sont produites spontanément
au même moment sur deux continents, soit Asiatique et d'Amérique du Nord, qui
composait à l'origine deux groupes ancestrals . Une troisième
théorie qui précédrait les 2 autres (Théorie Americanum 2012) : Les ancêtres du genre
trigonobalanus et autres genres apparentés à Quercus , ce sont développés au Mésozoique
à l'époque ou à la fin du continent Laurasia, dans un seul groupe ancestral
primaire duquel descende la lignée du genre Quercus , dans l'emplacement de
l'actuel Amérique du Nord et celui de l'Asie, lorsque ses deux continents
formaient une seule région dans un climat tropical tempéré à l'intérieur de l'hémisphère
Nord . Pour évoluer en plusieurs genres ancestrals primaires évoluant suivant
les oscillations climatiques ponctués par des périodes d'hybridations, en
migrant dans des corridors propices le long des cours d'eau , vers les
extrémités continentals Cette théorie
explique aussi la présence seulement en Amérique et en Asie de d'autres espèces
d'arbres , comme les carya , cette troisième théorie qui précèderait les 2
principales, favorise grandement la deuxième théorie(2001)sur l'origine moderne
du genre Quercus.
Durant l'Oligocène
la lignée des chênes est représenté par les trigonobalanoides et sont associé
au Dryophyllum , ces fossils qui ont été découvert ne sont pas identique aux
trigonobalanoides modernes, de par leur apparence plésiomorphique . Ils se
distinguent notamment par leurs fruits triangulaires à l'intérieur d'une cupule
valvulaire, les stigmates et les cupules sont arrangé le long d'un axe allongé .
Ce qui démontre l'existance d'ancêtre morphologiquement différent. Au milieu et
à la fin du Tertiaire, une abondance de plusieurs espèces se sont développés
particulièrement en Amérique du Nord. Probablement que les espèces modernes ont
évolué à ce moment vers leurs diversifications actuelles. Les classifications
infragénétiques les plus récentes de genre en sous-genres et en sections
tiennent compte des analyses phylogénétiques modernes , cette classification
comprend 2 sous-genres,:Quercus et Cyclobalanopsis qui n'est représenté qu'en
Asie . Le sous genre Quercus est divisé en 3 sections : Lobatae(chênes rouges
d'Amérique du Nord et du Sud) : Protobalanus(chênes intermédiaires d' Amérique
du Nord Occidental) et :Quercus sensu strictus(chênes blancs de l'hémisphère
est et ouest) et qui peut aussi contenir 2 sous-sections : Cerris(Eurasie) et
: Ilex(Eurasie) . Les synonymes
modernes : Lepidobalanus,Leucobalanus sont utilisés pour la section : Quercus
sensu strictus, et le synonyme Erythrobalanus pour la section Lobatae, le sous
genre Euquercus est utilisé pour le sous-genre Quercus, la section mésobalanus
qui est proche de la section Quercus sensu strictus est souvent inclus à
l'intérieur de la dite section. Les 4 groupes
monophylétiques issu de la littérature moderne sont :
-Cyclobalanopsis,-Erythrobalanus,-Protobalanus,-Lepidobalanus,.
Dans le domaine,il existe plusieurs écoles de penser qui réorganisent différemment
les classements présentés précédemment , particulièrement si on ne tient pas
compte de toutes la lectotypification ou si on cherche plus de précisions
phylogénétiques ou encore plus de détails sur les caractéristiques
morphologiques.
ordre
relationnel phylogénétique des groupes majeurs de Quercus en infragénétique -Trigonobalanus -Colombobalanus -Quercus sous-genre Cyclobalanopsis -Quercus section Lobatae (chênes rouges) -Quercus section Protobalanus (chênes
intermédiaires) -Quercus sens strict
(chêne blancs) (-Quercus
(groupe
Cerris) -Quercus
(groupe
Ilex) ) (Résumé) Voici une très
courte description de certaines caractéristiques qui peuvent différencier
visuellement ,certaine des sections et sous-sections : section Lobatae = apparence
chênes rouges , les glands longs mûrissent en 18 mois très amer endocarpes
duveteux, styles longs, : section Protobalanus apparence chênes rouges et
chênes blancs, les glands mûrissent en 18 mois très amer , endocarpe duveteux,
styles courts, : section Quercus sens strict apparence chêne blanc , les glands
murissent en 6 mois , doux ou légèrement amers , endocarpe glabre, styles
courts , : sous-section Cerris les glands mûrissent en 18 mois très amers ,
endocarpe glabre ou légèrement duveteux , styles longs. Americanum
partage ses connaissances avec ceux qui le mérite Publié : le 10 février 2017 à Drummondville Qc.ca. les
press indépendantes 2017 Touts droit réserver à AMERICANUM Firme de Botaniste
Consultant
Hybrides
naturels du genre Quercus indigènes d’Amérique du Nord
Les études sur les hybrides naturel s et
d’origine humaine de quercus, révèlent que certain de ces hybrides ont une
croissance et une résistance aux ravageurs , tout comme certaine autre caractéristique
variée supérieur ou qui s’ajoute aux caractéristiques existantes. Chaque biome
forestier dans lequel sont établi des espèces de chênes indigènes du même type
de milieux , peuvent servir à la production d’arbres génétiquement supérieur au
niveau adaptatif, pour chacune des zones bioclimatiques visées. Les espèces modernes du genre Quercus ont subi
des phases d’hybridations primaires au Tertiaire. En Europe à partir des
différents fronts migratoires issuent des zones refuges fusionnées. La variation
géographique des caractères adaptatifs s’est opéré surtout grâce à
l’hybridation inter spécifique qui facilitait la dispersion. Principalement
durant les recolonisations post glacières. En Amérique la dynamique était différente. Les
espèces orientals ne se limitaient pas aux zones refuges génétiquement
séparées. Les peuplements persistaient à faible densité près de la glace de
l’inlandsis laurentidien , ce qui limitait leur dispersion à grande distance.
La recolonisation est plus diffuse et limitée. Conséquemment on observe moins
de différenciation d’ADN cp parmi les populations. Sur le côté ouest les chênes
étaient également plus stables de par les oscillations climatiques. Les
populations ont diminué et se sont accrues pendant les réchauffements , ce qui a
donné lieu à des migrations locals qui ont établi une répartition inégale de la
diversité de l’ADN cp et qui ont maintenu des niveaux plus élevés de diversité
par rapport au chêne d’Europe.
Voici quelques une des espèces du genre
Quercus hybrides indigènes d’Amérique du Nord , de part le chevauchement de
leur air de répartition , ces hybrides sont ce qu’on appel des hybrides naturels
.Leurs parents se sont pollinisés entre espèce différente de manière aléatoire
en milieux naturel sans aucune intervention humaine. N’oublions pas que ces cas
sont rare en nature surtout à court terme, car plusieurs de ces espèces ont des
périodes de pollinisations différentes de par le moment et la durée. Toujours
dans le cas ou ces deux espèces proviennent du même groupe de chêne compatible
génétiquement comme exemple : du groupe des Lobatae(chênes rouges) ou
celui de groupe des Quercus sensu strictus(chênes blancs ) ect. Il existe
généralement 5 ou 6 groupes . Les seuls hybrides observés qui impliquent 2
groupes différent, concernent le groupe des Quercus sensu strictus et le groupe
Mésobalanus . Ce dernier est souvent inclus à l’intérieur du groupe des Quercus
, selon les différents classement nouveau et ancien . Il est important de
mentionné que certain des hybrides présent dans cette liste sont d’origine
humaine ayant fait l’objet de manipulation . :
x
Alvordiana(douglasii x turbinella) , x Andrewsii(macrocarpa x undulata) , x Asheana(incana x laevis) , x Atlantica(incana x laurifolia) , x Basaeachicensis(depressipes x
rugosa) , x Beaumontiana(falcata x laurifolia) , x Bebiana(alba x macrocarpa) , x Beckyae(macrocarpa x prinoides)
, x Benderi(coccinea x rubra) , x Bernardensis(prinus x stellata) , x Blufftonensis(falcata x laevis) , x Brittonii(ilicifolia x marilandica) , x Burnetensis(macrocarpa x virginiana) , x Bushii(marilandica
x velutina) , x Byarsii(macrocarpa x michauxii) , x Caduca(incana
x nigra) , x Caesariensis(falcata x ilicifolia) , x Capesii(nigra x phello) , x Cocksii(laurifolia x velutina) , x Columnaris(palustris x rubra) , x Comptoniae(lyrata x virginiana)
, x Cravenensis(incana x marilandica) , x Deamii(macrocarpa x
muehlenbergii) , x Demareei(nigra x velutina) , x Discreta(shumardii x velutina) , x Diversiloba(laurifolia x marilandica)
, x Drummondii(margaretta x stellata) , x Dysophylla(crassifolia x
crassipes) , x Egglestonii(imbricaria x shumardii) , x Eplingii(douglasii x garryana) , x Exacta(imbricaria x palustris)
, x Faxonii(alba x prinoides) , x Fernaldii(ilicifolia x rubra) , x Fernowii(alba x stellata) , x Filialis(phellos x velutina) , x Fontana(coccinea x velutina) , x Ganderi(agrifolia x kelloggii)
, x Garlandensis(falcata x nigra) , x Giffordii(ilicifolia x phellos) , x Grandidentata(durata var.gabrielensis x engelmanni) , x Guadalupensis(macrocarpa
x stellata) , x Harbisonii(stellata x virginiana) , x Hastingsii(marilandica x buckleyi) , x Hawkinsiae(rubra
x velutina) , x Heterophylla(phello x rubra) , x Hillii(alba
x muehlenbergii) , x Howellii(dumosa x garryana) , x Humidicola(bicolor x lyrata) , x Incomita(falcata x marilandica) , x Inconstans(gravesii x Hypoleucoides) , x Introgressa(bicolor
x (muehlenbergii x prinoides)) , x Jackiana(alba x bicolor) , x Jolonensis(douglasii x lobata) , x Joorii(falcata x shumardii) , x Kinseliae(dumosa x lobata x engelmannii) , x Leana(imbricaria
x velutina) , x Ludoviciana(pagoda x phellos) , x Macdonaldii(pacifica x lobata) , x Macnabiana(sinuata x stellata)
, x Mazei(macrocarpa x gambelii) , x Megaleia(lyrata x macrocarpa) , x Mellichampii(laevis
x laurifolia) , x Morehus(kelloggii x wislizenii var.frutescens) , x Moultonensis(phellos x shumardii) , x Munzii(lobata x
cornelius-mulleri) , x Mutabilis(palustris x shumardii) , x Neopalmeri(nigra x shumardii) , x Neotharpii(minima x stellata) ,
x Nessiana(bicolor x virginiana) , x Organensis(arizonica
x grisea) , x Oviedoensis(incana x myrtifolia) , x Paleolithicola(ellipsoidalis x velutina) , x Palmeriana(falcata
x imbricaria) , x Pastorensis(clivicola x glaucoides) , x Podophylla(incana x velutina) , x Rehderi(ilicifolia x velutina)
, x Richteri(rubra x palustris) , x Riparia(rubra x shumardii) , x Robbinsii(coccinea x ilicifolia) , x Robusta(emoryi x gravesii) , x Rolfsii(chapmanii
x minima) , x Rudkinii(marilandica x phellos) , x Runcinata(imbricaria x rubra) , x saulii(alba x prinus) , x Schochiana(palustris x phellos) , x Schuettei(bicolor x macrocarpa)
, x Smallii(georgiana x marilandica) , x Stelloides(prinoides
x stellata) , x Sterilis(marilandica x nigra) , x Sternbergii(shumardii x buckleyi) , x Sterrettii(lyrata x stellata) ,
x Subintegra(falcata x incana) , x Substellata(bicolor x stellata) , x Succulenta(geminata x minima) , x Tharpii(graciliformis x emoryi)
, x Tottenii(lyrata x michauxii) , x Townei(dumosa x lobata) , x Tridentata(imbricaria x marilandica) , x Undulata(gambelii
x turbinella) , x Vaga (palustris x velutina) , x Venulosa(arkansana x incana) , x Wagneri(bicolor x prinoides) , x Walteriana(laevis x nigra) , x Willdenowiana(falcata x velutina) , x Zehra(rysophylla
x falcata) .
Le genre est limité dans sa vitesse de migration
par la morphologie de son fruit , mais possède un péricarpe parfait pour le
transport terrestre et aquatique. Aucune carte génétique n’a été publié jusqu’à
maintenant pour certaines espèces du genre, comme Quercus rubra . L’objectif
d’un tel projet à long terme serait la détection de QTL et de gènes contrôlant
la résistance aux ravageurs spécifiques et même jusqu’à la couleur du duramen.
Americanum
privilégie le contenu aux longueurs vides Publié :
le 20 janvier 2017 à Drummondville Qc.ca. les presses indépendantes 2017
Touts droits réserver à AMERICANUM Firme de Botaniste Consultant Les
Bases de la Conduite d’une Forêt l’amélioration
de sa biodiversité écosystémique et sa productivité
il
est important de toujours travailler avec sa forêt et jamais contre .Premièrement
établir un plan des écosystèmes présents en caractérisant les différents
milieux : les espèces végétales , plantes, arbres, arbustes et les espèces
animales ,amphibiens ,reptiles et si possible un survol des principaux insectes
, toujours selon le meilleur de nos connaissances et aider de livre sur le
sujet .Garder en tête que chacune de nos actions entraine une réaction du
milieux ,bonne ou mauvaise. Il faut être à l’écoute de sa forêt. La
végétation est un bon indice du statu nutritif du sol .Caractérisez la
végétation en regarder la dominance des genres et espèces dans chacun des
milieux en présence , commencez par les grands arbres jusqu’au carex ,sphaigne ,fougère
en les classant dans différente strate : strate arborescente ,strate
arbustive ,strate herbacée. Établissez la dominance de certaines espèces dans
chacun des milieux , par rapport au observation. Choisissez des milieux qui
devront être conservé tel quel pour la flore et la faune. Par
la suite en consultant quelques ouvrages spécialisés ,vous obtiendrez des
informations sur le statu nutritif du sol : son acidité ,son humidité ,sa
réaction au drainage bonne ou faible. Établissez
ensuite la caractérisation des différents dépôt constituant les sols .Regardez
la composition : présence de morceaux de bois petit et grand , texture
granuleuse , matière collante et visqueuse , présence de feuille , reste
racinaire , aspect fibreux . notez aussi le niveau de décomposition : structure
de plante non reconnaissable = sol complètement décomposé , structure de plante
indistincte mais reconnaissable = sol fortement décomposé, structure de plante
distincte = sol très faiblement décomposé , structure de plante non altéré =
sol non décomposé .Vous pouvez aussi noté l’écoulement d’eau claire ou d’eau
chargé de particule, en pressant un échantillon dans votre main . Par
la suite en consultant quelques ouvrages spécialisés avec ses donnés ,on
obtiendra des informations qui nous aiderons à déterminer , le statu nutritif
du sol ,son acidité ,son humidité ,sa réaction au drainage bonne ou faible. Déterminer
le type d’apport principal hydrologique : par ruissellement ou par averse.
Chercher les voies d’évacuations du système hydrologique présent . Regarder si
il y a présence même minime de pente d’écoulement .Travailler avec ces même
voies d’évacuations et pentes existantes . Pour votre drainage , améliorer les
performances des voies d’évacuations et travailler avec les pentes d’écoulements
. Avant de déterminer si on draine et dans quel proportion n’oublier pas de
tenir compte que les arbres de grande dimension ont de la difficulté à
s’adapter aux nouvelles conditions de drainage . Privilégier les peuplements
qui on un diamètre de moins de 20 cm . Les arbres qui ont une cime jusqu’ à la
moitié de leur hauteur réagiront mieux que ceux qui sont déficients au niveau
de leur cime . Vos mieux aussi privilégié les peuplements dont l’âge
physiologique est juvénile . Dans
le cas ou ses critères ne sont pas optimaux , mieux vos combinés les
traitements : coupe de régénération , nettoyage , reboisement. Avant
de procéder à la coupe au nettoyage ou tout autre activité de récolte et de
modification du milieu , toujours s’assuré de garder des arbres et des plantes
herbacées dit d’avenir qui pourront servir à une partie de la régénération du
milieu et à la reproduction de ses même espèces . Par le fait même vous pouvez
réorienter les peuplements d’arbres et de plantes en sélectionnant les variétés
qui ont le meilleur potentiel pour favoriser la biodiversité et qui sont de plus
grande valeur . La deuxième partie de la régénération et de l’amélioration de
la biodiversité végétal doit être faite par vous . La façon la plus rapide et
simple pour l’implantation est la récolte de graine , semences , glands, noix
qui peuvent être facilement récolté et semé l’automne quand leur maturité est
atteinte , c’est valide autant pour les arbres que pour les plantes herbacées. Si
on veut accélérer le processus ont peut planter des arbres et des plantes
matures sexuellement qui pourront dès leur première année d’introduction
commencé à se multiplier d’eux même . Entre les deux il y a la solution
intermédiaire moins coûteuse qui consiste en la plantation d’arbres et de
plantes juvéniles qui auront un meilleur pourcentage d’implantation réussite que
de simples semences , qui sont à la merci des animaux et des insectes durant la
phase la plus critique de leur développement. La
partie principale à protéger sur les jeunes arbres et qui est la plus exposé
c’est l’écorce , elle assure l’arrivée de la sève dans la tête et les branches .
Apposer toujours sur le tronc , du pied vers le haut et pendant les 4 saison une
protection quelconque, soit une spirale de plastic ou du grillage sur une hauteur
de 24 à 36 pouce selon la neige et le type d’infestation. Les plants peuvent
supporter quelques broutages de cerf sur la tête et les branches , des
protection pour la tête existe aussi , mais si l’écorce disparait sur 360
degrés, l’arbre doit être coupé en dessous de la blessure . La perte de la
moitié de l’écorce peut quand même soutenir une croissance même diminué,
jusqu’au moment de la cicatrisation. Une
bonne technique pour accélérer la croissance , consiste en l’ajout autour de
chaque tige planté de 1 ou 2 pouce de chip de bois(B.R.F.). De cette manière la
capacité d’adaptation aux nouveaux milieux sera du même coup amélioré . Les
processus d’assimilation des nutriments présents dans les sols et effectuer par
les racines de vos tiges seront optimisés par l’association engendré par les
champignons mycorisiens qui s’installeront sur vos chips de bois ,tout en se
connectant aux racines des tiges pour procéder à un échange significatif
d’éléments nutritifs pour leur croissance respective . Utiliser le bois
récupéré des nettoyages et autre opérations d’éclaircissements , pour qu’aussi
une partie des nutriments consommés par les arbres adultes récoltés , retourne
au sol pour son maintien fonctionnel. Dans
le cas ou des nouveaux genres et espèces indigènes , végétal , animal , reptile
, amphibien , insecte veulent être introduit dans un nouveau milieu . Tous les
tenants et aboutissants doivent au préalable être mesuré avec une rigueur
scientifique , surtout pour ne pas nuire aux autres genres et espèces , qui on
peut être mis des milliers d’années à s’établir convenablement dans ces
milieux. Une
autre dimension à observer est la rentabilité économique du projet . Le plus
important , les chemins , le type d’accès et leurs caractéristiques
fonctionnelles : chemin pour véhicule léger , lourd ,(ex. quatre roues ,pelle
mécanique), en sable , gravelle ,terre de fossé, ponceau ,pont ,bassin de
sédimentation . Ensuit la sortie des billots de bois , distance à parcourir intérieur-extérieur
du lot , dimension de la forêt , difficulté du terrain , pente , formation
rocheuse , suivi de l’entretien , la délimitation par piquet d’arpentage et le
clôturage pour contrôler les accès au site (très important). Il
doit y avoir un équilibre entre les revenus et les coûts environ 400-500$
l’hectare selon le potentiel de production présent . À cette étape il est
important de respecter les plans de conservation et de maintien floristique et
faunique établie au préalable par la mise en place de la caractérisation des
milieux et la mise en valeur de certain peuplement d’avenir . Il est aussi très
important de procéder méthodiquement quand aux relations symbiotiques qui
existent entre les plantes et celle qui existe aussi entre les divers autres organismes
multicellulaires . Sans faire de grande étude, relever ,les plantes qui dans
les différents milieux sont toujours associé et qui se partagent l’espace sans
se compétitionner et qui occupent leur propre niche . N’hésitez pas à vous
informez ou à consulter dans ce domaine . L’étape
avant le moment propice pour faire une vraie récolte d’arbres sélectionnées , devrai
être de commencé à éclaircir en évaluant la cime des arbres . Regarder d’abord
si l’enracinement est superficiel , si oui diminuer l’ampleur de l’éclaircie
pour éviter que le vent circule facilement et jette les arbres par terre . Lorsque
les cimes s’entre croisent et que la lumière se fait rare , il est temps de
commencer l’éclaircissement . Observez
si l’arbre n’a pas perdu au moins la moitié de ses branches sur toute sa
hauteur , il est encore trop tôt . À ce moment si vous éclaircissez les branches
basses se surdévelopperont au lieu de tomber . Il y aura donc une perte de
valeur du tronc . Quand les branches et la cime occupent moins de la moitié de
la hauteur soit 40% , il est temps d’éclaircir . Du même coup on obtient une
valeur de plus avec le bois des arbre suprimés autour de nos tronc sélectionnés
, qui de toute manière serait perdu par mortalité dù au manque de lumière et
d’espace . Il y
à plusieurs autres avantages comme le développement de jeunes arbres en
sous-bois , une meilleure qualité des arbres récoltés , une meilleure
résistance aux vent et maladie , l’augmentation du diamètre des troncs . Successivement
vous pouvez poursuivre en faisant une coupe d’amélioration du peuplement . Commencez
par secteur en marquant les arbres à conserver d’une couleur , puis marquer
d’une autre couleur les arbres : affaiblis , malades , tordus , dangereux
, infestés d’insectes nuisibles ou morts (vous pouvez laisser quelques arbres
morts de grande dimension ainsi que des espèces ligneuses non arborescentes de sous étages
pour la faune et les insectes bénéfiques) . Voici
quelques types de coupe qui existent , choisissé en une ou combiné les ,selon
vos besoins : coupe d’éclaircie , coupe d’entretien , coupe sélective ,
coupe de régénération , coupe de succession , coupe d’assainissement , coupe de
jardinage , coupe commercial , coupe à blanc cette dernière est déconseiller
sauf dans des projets viables d’amélioration de l’écosystème et d’augmentation
de la biodiversité en créant un écosystème de plus grande valeur (ex. nouveaux
genres et espèces introduites) . Une
autre façon d’amélioré et mettre en valeur les arbres de nos peuplements , peut
aussi se faire par l’élagage . Cette méthode cause une blessure qui peut être
la porte d’entrer de nombreuses maladies , champignons et insectes .C’est
pourquoi ce traitement doit être fait de manière professionnel avec quelques
connaissances sur l’anatomie de l’arbre pour que la cicatrisation soit rapide
et optimale . Vous devez couper à la jonction de la branche et du tronc , là où
est situé le renflement du joint de la branche appelé bourrelet qui est
constitué de tissus enveloppant la branche et qui stop en partie les micro-organismes
. Plus
visible chez les feuillus , le bourrelet est moins visible chez les conifères
en raison de l’angle prononcé des branches par rapport au tronc . La coupe doit
être fait juste à l’extérieur du bourrelet pour le conserver intacte sur
l’arbre . Dans certain cas ou le bourrelet est petit ou presque inexistant la
coupe peut se faire près du tronc en prenant garde de ne pas endommagé l’écorce
du tronc . Mise
à part l’augmentation de la valeur du tronc , l’élagage accélère la transition
des tissus du bois , du stade juvénile au stade adulte (mature) . Le bois
mature ayant des caractéristiques mécaniques et une qualité supérieur , les
fibres du bois étant plus longues et plus denses que celle du bois juvénile . Plusieurs
moments durant l’année peuvent être propice à l’élagage selon les genres et
espèces choisi . Soit les périodes de dormance ou les périodes de croissance
qui peuvent limiter l’écoulement de la sève de certaines espèces . L’âge idéale
des arbres pour effectuer des opérations d’élagage se situe toujours à leur
stade juvénile , car leur croissance est plus rapide , l’écorce est plus mince
, donc la fermeture de la cicatrice est plus rapide . Les individus matures à
écorce épaisse se referment beaucoup plus lentement . Pour
conclure la vitesse de progression des travaux est principalement lier à la
présence de chemin adéquat et de machine mécanisé , et la vitesse de croissance
des arbres est principalement lié à la lumière disponible , aux éléments
nutritifs contenus ou ajouté dans le sol , le bon niveau d’acidité du sol pour
que l’assimilation des nutriments soit optimum . Pépinière du Golf Americanum
Publié : le 22 janvier 2016 à Drummondville Qc.ca. les presses indépendante
informe le peuple Canadien depuis 2008
2016 Touts droits réserver à Pépinière du Golf Americanum
Connaître les bases de la culture du noisetier au Québec
Dans ce domaine tout type de projet est viable du moment ou temps et argent sont investis. Pour ceux qui recherchent les aubaines ou qui quètent des consultations gratuites, se serait préférable de se trouver un autre passe-temps plus adapté au grattage de cent, des clubs et des associations existent.
Cette culture plaira surtout aux gens qui aiment expérimenter la nouveauté et les défis liés aux différents aspects de la conduite d’un projet qui demandent un investissement personnel.
Quelques connaissances en enthomologie peuvent être tres pratique surtout pour identifier un insecte problématique dans son secteur, sans oublier un bon sens de l’observation pour détecter les éventuels signes de maladie.
Les principaux insectes et invertébrés nuisible sont : la cicadelle, cochenille de san josé , larve de la pyrale, lécanie, livrée, phytopte, pou rouge , puceron jaune du noisetier, scarabée japonais, spongieuse, tétranyque à deux point, tordeuse à bandes obliques, mite du bourgeon et charançon du noisetier.
Les principales maladies sont : la brûlure orientale du noisetier et la brûlure bactérienne.
Les principaux animaux nuisibles sont : les écureuils, tamia, souris, mulot, lapin, geai bleu, perdrix et les chevreuils.
En ce qui attrait aux différents sites de culture possible. Les terres agricoles ou en friches sont de loin préférable, dans le cadre d’une éventuelle production commercial. Autrement pour une culture personnel, tous les autres types d’emplacement sont evisageables. Il suffit souvent simplement de travailler son sol et d’y ajouter des matières organiques ou autres matières plus spécifiques selon le cas et le but visé. Un ensoleillement total est toujours préférable ,mais la production peut se faire à mi-ombre et même jusqu’à ¾ d’ombre dans le bon type de sol. L’espacement peut être très variable, on y va selon ses besoins ses variétées et le type d’entretien choisi, ça peut aller de 2-4 mètres à des espacements réduits de 75 à 150cm. Ph entre 6 et 7.
Le choix des bonnes espèces, variétés ou hybrides sont la base pour obtenir une récolte régulière et de qualité. Pour l’amateur une consultation s’impose. Il ne faut pas oublier que les donnés récoltés auprès d’instances Canadienne, Americaine ou Européenne ne sont pas applicables aux réalités climatiques et environnemental du Québec, tout au plus un éclaircissement.
Pour la fécondation des ovules, des variétés sont prédisposés à fournir une quantité de fleur mâle supérieur , sur trois rangs plantés un rang pollinisateur doit être planté pour assuré une meilleure fécondation, même si à la base un noisetier peut s’autoféconder étant généralement monoïque total ou partiel. Dans la réalité des mécanismes d’allogamies s’opèrent pour assurer au noisetier une adaptation évolutive et un renforcement génétique, qui à long terme est essentiel dans l’évolution d’une plante. Les plantes font tous pour échapper à la simple autogamie qui perpétuent la plante, mais au prix d’un appauvrissement génétique.
Différents hybrides et variétés sont conseillés dans une plantation. Les fleurs mâles et femelles n’éclosent pas en même temps, alors un apport constant de pollen durant la période de fécondation est nécessaire pour obtenir un bon rendement à l’hectare. Pour cela la simple disposition de plants pollinisateurs qui possèdent différantes périodes de libération de pollen et qui couvrent en entier la période de fécondation établie sur le site. Les vents font partis des contraintes à examiner et à mesurer, car les noisetiers sont (anémophiles).Ils utilisent les vents pour leurs pollinisations. Les fleurs femelles s’ouvrent durant le mois d’avril et la libération du pollen survient une dizaine de jours après l’apparition des styles rouge sur les fleurs femelles. Généralement quand l’humidité relative diminue.
Le noisetier possède un système d’auto-incompatibilité sporophytique. Le pollen porte des allèles multiples du père, cependant il existe des relations de dominance entre les allèles d’une même espèce. Conséquemment la noiseraie devrait compter un minimum de deux variétés compatibles qui possèdent des allèles différents. Des allèles d’un genre pour les pollinisateurs et des allèles d’un autre genre pour les fructificateurs.La distance maximum entre les plants pour la pollinisation est environ de 8 mètres. La notion de deux variétés différentes dans une plantation s’applique seulement pour les clones( marcottage, bouture,greffe) les semis sont exempt de cette contrainte.
La maturation arrive juste avant le brunissement de la coque. Normalement la récolte s’effectue à la fin août début septembre la période d’ouverture des fleurs et de la récolte variant selon les espèces, les hybrids ou les variétiés. L’enracinement est superficiel, il est concentré dans les 15 à 20 premiers centimètres du sol. Il n’est donc pas problématique de planter à proximité des bâtiments ou des installations sanitaires.
La hauteur du noisetier varie entre 4 à 6 mètres, une taille de formation est préférable dans les premières années de plantation, pour augmenter les structures fructifères. Chaque année un amendement en azote est recommandé. La maturité sexuel survient après environ 5ans. Au Québec le froid n’est pas un problème du moment que le choix des espèces, variétés ou hybrides à été fait consciencieusement. La compatibilité de fécondation doit être vérifié avant la plantation. Un bref regard révèlle que, outre leur propre espèce, la compatibilité des principals espèces de noisetiers ce résume comme suit: Le corylus americana peut féconder ses hybrides, mais pas le corylus cornuta ni le corylus avellana. Le corylus avellana(non rustique) peut féconder le corylus cornuta et le corylus Americana. Le corylus cornuta peut féconder ses hybrids. Il est important de ne pas oublier que la fécondation entre hybride donne une multitude de possibilité tout dépendant des parents.
C’est pourquoi qu’un aspect très important est de choisir un fournisseur de plants qui possèdent une expertise professionnelle, qui consiste principalement par le testage des différentes caractéristiques de son produit, une qualité rare dans ce domaine. Pour la simple culture jardinière de quelques plants aucune connaissance n’est nécessaire. Avec un petit jardin c’est facile de produire c’est proper noix. Dans la réalité de la culture de cette plante à grande échelle, certaine problématique complexe nécessite une expertise professionnelle pour l’aboutissement d’un projet rentable. Dans ce domaine plusieurs abrutis notables pullules et nuisent grandement aux nouveaux investisseurs ainsi qu’à la progression et aux développements dans le domaine
Cette petite mise en situation s’adresse uniquement à nos clients passé et future
Publié le 22 février 2014 à Drummondville Qc.Ca.Les presses indépendantes
2014 Tous droits reserve à Pépinière du Golf Americanum
Protèger la biodiversité la responsabilité de chacun
La
biodiversité définie la diversité des espèces vivantes et la diversité de leurs
caractères génétiques.Posons-nous d’abord les questions
suivantes quel est le niveau de biodiversité à Drummondville?Les milieux forestiers exploités à Drummondville
sont-ils reboissés uniquement avec une seule espèce
dont les caractères génétiques sont basés sur la rentabilité ? La ville de
Drummondville se préoccupe tel de favoriser la plantation d’espèce indigène
d’Amérique sur son territoire ou plante tel des espèces européennes et
asiatiques ornemental ? Malheureusement certaines des meilleurs génétiques
disparaissent laisser à la merci des exploitants forestiers et de l’étalement urbain.Les chercheurs du milieu forestier sélectionne et hybride des arbres pour des caractèristiques de productivitées
et de rendement,sans parlé de leur dernière création
les arbres génétiquement modifiés(O.G.M.),qui se reproduisent naturellement en
forêt et entre en compétition avec les arbres à génétiques indigènes.C’est
aussi possible de reboiser avec des
espèces mixtes en gardant une bonne rentabilité tout en contribuant à recréer
un écosystème stable.Un autre question importante à se
poser serait, est-ce que j’achète mes plantes vasculaires dans une pépinière à
profit ou un centre jardin qui se préoccupe de la biodiversité et des
génétiques local?C’est pourquoi il est important de réfléchir
et de ce documenté avant de se rendre dans de telle endroit,car
en réalité il est difficile d’obtenir des réponses pertinantes
à ce sujet. Ces commerces qui sont basés sur le profit et qui voient les
clients comme des numéros,jouent un rôle dans la
dégénérescence des génétiques locals et des espèces indigènes de plus les espèces
ornementales sont en fait des erreurs génétiques qui n’existeraient pas en
milieu naturel.Le milieu horticole en sélectionnant
ces espèces et en procèdant à une surproduction de bouture,marcottage,grèffe ,qui ne
font que recréer des clones génétiquement identique contribue grandement à
l’appauvrissement de la biodiversité et des génétiques locals,c’est
ça l’horticulture.Un bon moyen de contrer ce problème
est de s’informer à des personnes qualifiés qui peuvent conseiller de façon
adéquate le type et l’aspect de l’arbre recherché tout en connaissant la
provenance des semances utilisées.En
choisissant un espèce indigène on démontre son intérêt tout en contribuant à la
biodiversité.
Drummondville
a déjà compté un plus grand nombres d’espèces comme le caryer cordiforme qui a occupé une place importante dans les érablières
à caryer, autrefois présent dans la ville cette écosystème tout comme cette
espèce sont aujourd’hui disparue de notre milieu de vie.Les
gens intéressés à participer à protèger la biodiversité
peuvent choisir de planter un noyer cendré car cette espèce est en voie de
disparition depuis déjà un certain temps .Après avoir parlé avec des responsables
des recherches du provincial et du fédéral qui étudient le cas du noyer cendré.Le constat est qu’aucun réel projet de conservation
comme des plantations ou des sélections d’arbres plus résistants n’a été compléter.C’est pourquoi c’est aux gens à faire la
différance en cultivant l’espèce de manière sélective.Seul
les gens intéressés peuvent influer sur l’avenir de cette espèce.
Publié le : 3 mai 2012 à Drummondville.qc.ca. Les presses indépendantes
Comment bien investir dans la production des noix au Québec
Au Québec contrairement a la croyance populaire la culture des noix est possible et prometteuse en choissisant les bonnes espèces,hybrides,cultivars et sélections ayant un pourcentage d’amande élevé et une bonne qualité. On n’est loin ici d’arbre et d’arbuste sauvage comme le coudrier du grand-père mais plutôt de sélection. Avec les bonnes sélections il y à moyen de compenser pour le moins grand nombre d’unité thermique disponible au Q uébec en sélectionnant les mieux adaptés pour cette culture au Québec. Une gamme de cultivar de production de noix existe pour chaque espèce concerné. Malheureusement la plupart ne sont pas rustique ou ne rendent pas leurs noix à terme. C’est là que l’expertise et les recherches de pépinière spécialisé dans la culture des noix et de leurs arbres rentrent en ligne de compte, Comme chez Pépinière du golf de Drummondville.
Il y à une noix donc les gens aiment parler c’est celle du noyer noir contrairement à ce que certain amateur croit le noyer noir n’est pas une nouvelle manne dans le domaine,la noix étant presque incassable et l’amande très petite. Par contre des cultivars rustiques de production de noix existent pour le noyer noir produisant des noix à coque plus mince et plus d’amande ,ces sélections ne sont pas disponible à la pépinière du coin. Plusieurs autres espèces sont beaucoup plus désignées pour cette culture.Les vielles plantations de noyer noir non sélectionnées pour la culture de leurs noix mais pour celle de leurs bois ne sont justement bonne que pour le bois d’œuvre, c’est le cas aussi pour toutes les espèces de chêne. Malgré tout il existe des machines disponibles de transformation spécialisées pour les noix très durs du noyer noir à partir de 10 000$. L e problème c’est qu’au Québec personne ne veut investir. Dans ce domaine les plus grosse avancés sont réalisés par des passionnés qui n’hésitent pas à investir leur propre argent et à faire leur propre expérience.
Depuis 2008 la Pépinière du golf est la seule pépinière spécialisée dans les arbres noix et arbres indigènes.Nous offrons une expertise unique au Québec avec notre service de consultant et de production d’arbres. La pépinière se démarque aussi dans ses pratiques écologiques innovatrices. Depuis 1998 nous avons réalisé plusieurs travaux d’expérimentation sur différent site avec succès, portant sur les différentes espèces,hybrides,cultivars et sélections. Nous continuons toujours notre expérimentation dans ce domaine,de plus nous travaillons aussi sur la création de nouveaux hybride plus performent comme nos dernières créations le noisetier x Drummondville, le noisetier x du Golf .
Pour conclure j’encourage les gens à mieux connaître les espèces d’arbres et d’arbustes indigènes au Québec et favoriser la plantation de ces espèces au détriment des espèces ornementales moins bien adapté à la région et du même fait protèger notre biodiversité végétal. La Pépinière du golf de Drummonville tiendra une réunion amateur gratuite pour faire connaÎtre les espèces d’arbres indigènes du Québec et certains ouvrages sur le sujet ansi que quelques conseils.Contactez- nous pour les détails en visitant le site internet www.pepiniere-du-golf.com soit par courriel ou téléphone.
Publié le : 20 avril 2011 à Drummondville.qc.ca. Les presses indépendantes